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Jean BRUNETTI, fils
aîné de Valério BRUNETTI et de Léonie HABERT, nait le 11 novembre
1895 à Paris 10ème. Il est baptisé à l'église Saint-Laurent à Paris.
Il demeure chez ses parents, faubourg Saint-Martin, à côté de l’atelier de son père, puis faubourg Saint-Denis.
Il demeure chez ses parents, faubourg Saint-Martin, à côté de l’atelier de son père, puis faubourg Saint-Denis.
Jean à 10 ans
Acte de naissance de Pierre Jean Louis Brunetti de sexe masculin, né le 11 novembre 1895 à 11 heures du matin chez ses parents, fils de Valério Brunetti, 32 ans négociant, et Léonie Habert 22 ans sans profession, mariés, domiciliés faubourg St Martin 178, ... en présence de Charles Brunetti, 66 ans rentier, rue de l'Aqueduc et Emile Brunetti 21 ans, peintre.
Jean, Georges et Jeanne en 1899
En 1903, dès le début de la maladie de son père, la famille s’installe au 68 rue de Paris à Joinville-le-Pont dans l'institution "La famille" que dirige sa mère. "La maison est grande. Il y a 10.000 m² de jardin, un grand marronnier… ".
Jean va à l’école au Parangon, juste à côté de "La Famille". Sa sœur déjeune avec les élèves, lui, avec ses parents. Mais quand son père est hospitalisé à Ville-Evrard, il reste avec sa mère, Mademoiselle MAÎTRE (sous-directrice du pensionnat), et parfois "Marraine Jeanne" (Jeanne CAPPUA), la marraine de sa sœur.
Le Parangon
Première communion - 1902
Jeanne - Georges - Jean (1905) Partie de croquet (vers 1909) Avec son frère Georges (1908)
A 15 ans, il part pour Stuttgart, chez le pasteur UMFRIED, dont la fille, Lotte, a passé 6 mois à Joinville. Il y reste jusqu’à l'été 1911.
Puis, il va à Wüppental en Rhénanie près de Düsseldorf dans la famille du pasteur ELSESSEUR.
En novembre, il doit rentrer en catastrophe : son frère, Georges vient de mourir à 13 ans.
A Stuttgart en 1911 dans la famille du Pasteur Umfried
Monsieur Umfried, Jean, Wimfried, Lotte, Madame Umfried
En 1912, il fait un petit voyage au Mont St-Michel avec Marraine Jeanne et Oncle Paul.
Puis, il part en Angleterre à Londres chez Monsieur PARTRIDGE comme employé commercial. Son patron lui propose de le garder aux appointements de 200 francs par mois.
Mais sa mère veut qu’il revienne.
Il retourne néanmoins à Düsseldorf pour régler un problème de comptabilité avec un client, et en profite pour répondre à une invitation de la famille ELSESSEUR où il reste une quinzaine de jours.
A Joinville, Oncle Paul lui obtient un travail d'employé à 50 francs par mois. Il trouve ensuite un emploi commercial à la Maison Desnoyers où il apprend l’espagnol à la demande de son patron… qu’il quitte fin janvier 1914.
Il entre alors dans la Maison Léonard, entreprise de grains où travaille son grand ami Pierre VIOLET qu'il a connu au Parangon.
Puis, il part en Angleterre à Londres chez Monsieur PARTRIDGE comme employé commercial. Son patron lui propose de le garder aux appointements de 200 francs par mois.
Mais sa mère veut qu’il revienne.
Il retourne néanmoins à Düsseldorf pour régler un problème de comptabilité avec un client, et en profite pour répondre à une invitation de la famille ELSESSEUR où il reste une quinzaine de jours.
A Joinville, Oncle Paul lui obtient un travail d'employé à 50 francs par mois. Il trouve ensuite un emploi commercial à la Maison Desnoyers où il apprend l’espagnol à la demande de son patron… qu’il quitte fin janvier 1914.
Il entre alors dans la Maison Léonard, entreprise de grains où travaille son grand ami Pierre VIOLET qu'il a connu au Parangon.
Jean- 1911